Il y a des chemins qu’on prend parce qu’ils sont rassurants. Parce qu’ils sont balisés, validés, socialement acceptés. Et puis il y a le chemin le moins fréquenté. Celui sur lequel on s’engage sans carte et sans gps.
Le chemin qu’on (res)sent, plus qu’on ne voit. Celui qui nous ressemble. Celui qui nous appelle.
Et si ce chemin-là, c’était celui qui te ramenait à toi ?
Ceux qui choisissent de ne pas suivre la foule ne le font pas pour se démarquer. Ils le font pour ne plus se trahir. Pour habiter leur vie avec honnêteté. Pour se sentir vivant.e. Pour mieux respirer. Pour plus de vérité. Pour plus de cohérence.