Et si j’arrêtais de faire semblant ?

Quand je ne suis plus en train de faire semblant d’être quelqu’un que je ne suis pas ?
Quand je ne suis plus en train de performer, de me plier en quatre, de porter des masques pour qu’on m’aime, qu’on m’accepte, qu’on me valide ?
Quand je ne suis plus en train de m’adapter à ce qu’on attend de moi ?
Quand je ne suis plus en train de courir partout comme une poule sans tête, à vouloir prouver que j’ai de la valeur, que je mérite d’être aimée ?

Qu’est-ce qui se passe quand …

Il se passe un truc que personne ne nous apprend.
Un truc presque radical, presque révolutionnaire dans ce monde qui nous pousse à faire, faire, faire — et surtout, à ne jamais nous arrêter pour sentir.

Pour ressentir.

Quand j’arrête de m’agiter pour mériter ma place…
Je commence à être, vraiment. Être présente à moi.

Un espace où remontent des émotions que j’avais mises sous cloche.

Des émotions jamais dites, jamais vues, jamais accueillies.
Un espace d’écoute intérieure, de calme sans condition.
Un regard nouveau, dépouillé du filtre du jugement.

Une paix. Une clarté. Un souffle. Un soulagement.

Et puis il y a les prises de conscience. Les déclics.

Les idées qu’on n’avait pas prévues, qui surgissent quand on ne force plus rien.

Et là… il y a un espace qui s’ouvre.

Quand on n’a plus besoin de prétendre que “tout va bien” alors qu’à l’intérieur, c’est le chaos.

Quand on peut dire vraiment ce qu’on ressent, sans filtre, sans peur, sans performance.

On retrouve sa vérité.

Ou plutôt… on la découvre.
On découvre ce que c’est, vraiment, que de se sentir soi.
Pas la version validée par les autres.
Pas la version socialement acceptable.
Mais la version brute. Authentique. Vivante.

Sauvage.

Et avec elle, une nouvelle manière de se regarder. De se parler. De se valider.

Parce que oui, la clarté, c’est aussi ça :
Apprendre à s’observer de l’intérieur et de l’extérieur.
Apprendre à reconnaître ce qui est à nous… et ce qui ne l’a jamais été.
Décider consciemment de ne plus laisser le regard des autres définir notre valeur.

C’est comme ça que la transformation commence.

Pas à coup de to-do lists ou de promesses de développement personnel sur papier glacé.
Mais dans ce choix intime et courageux de ne plus jouer un rôle.

Parce que c’est un choix qui se fait intimement. Pour soi.

C’est comme ça qu’on apprend à enlever les couches.
À déposer les masques.
À dire non.

A faire respecter ses limites.

À redevenir — ou à devenir enfin — la vraie version de soi.

Pas celle qui fait l’unanimité.

Mais celle qui se tient droite, même seule.

Celle qui ose dire : je me choisis.

Celle qui ose briller.

Pas contre les autres,

Mais pour soi.

C'est exactement ce que je propose dans les Cercles de Fanette. Je propose un cocon de sécurité où celles et ceux qui le désirent peuvent être vrai.e.s, arrêter de faire semblant et déposer leurs masques.

Rendez-vous sur le site y participer : www.lessagessesdefanette.com