Je ne fuis pas, je choisis : et si c'était ça, le travail de conscience ?
Parfois, choisir c’est le début du soulagement. Parfois, se choisir soi, c’est le seul vrai pas en avant.
Françoise Houba
5/20/20253 min read


Non, je ne fuis pas. Je choisis. Nuance essentielle.
Je choisis de m'éloigner de ce qui ne me convient plus. De ce qui me vide. De ce qui me tire vers le bas. De ce qui me fait perdre de l’énergie au lieu de m’en faire gagner.
Je choisis de ne plus gaspiller mon énergie dans des conflits qui tournent en rond. Des batailles d’égo sans issue. Des conversations à sens unique avec des personnes qui ne cherchent pas à entendre, mais à imposer.
Je choisis de ne pas rester dans des environnements où je dois lutter pour exister. Où je me sens invisible. Jugée. Rabaissée. Où mes nuances ne sont pas les bienvenues.
Je choisis de ne plus essayer de m’adapter à des personnes qui ne veulent pas me connaître vraiment. De ne plus me plier pour être aimée, entendue, validée.
Je choisis de me préserver. De me respecter. De me choisir, moi.
Je choisis de ne pas rester dans des environnements où je dois lutter pour exister. Où je me sens invisible. Jugée. Rabaissée.
Où mes nuances ne sont pas les bienvenues.
Je choisis de ne plus essayer de m’adapter à des personnes qui ne veulent pas me connaître vraiment. De ne plus me plier pour être aimée, entendue, validée.
Je choisis de me préserver. De me respecter. De me choisir, moi.


Ce n’est pas une fuite. C’est un acte de souveraineté. Un travail de conscience profond qui commence par une seule décision : arrêter de s’oublier pour être acceptée.
Depuis que je fais ces choix, je respire mieux. Je gagne de l’énergie. Je me sens plus ancrée. Plus alignée. Parce que je ne cherche plus à avoir ma place partout. Je mets mon énergie là où elle circule naturellement.
Je m’entoure de personnes qui savent écouter. Qui accueillent la différence comme une richesse. Qui n’ont pas besoin d’écraser l’autre pour exister. Qui voient au-delà du masque.
Ce n’est pas de l’orgueil. C’est de la clarté. C’est de la conscience. C’est récupérer son pouvoir personnel, pas pour le brandir, mais pour vivre plus libre.
Ce choix-là, je crois que c’est l’un des plus puissants que j’ai faits. Parce qu’il m’a permis une chose rare et essentielle :
Exister. Vraiment. Sans masque. Sans lutte. Sans me travestir.
Et si toi aussi tu sens que tu t’éteins à vouloir tout concilier, tout expliquer, tout porter… Peut-être qu’il est temps de t’arrêter un instant et de te poser cette question simple :
Qu’est-ce que je choisis, aujourd’hui, pour me respecter vraiment ?
Parfois, choisir c’est le début du soulagement. Parfois, se choisir soi, c’est le seul vrai pas en avant.


Dans les Cercles de Fanette, c’est exactement la proposition que je fais : apprendre à faire des choix conscients pour arrêter de gaspiller son énergie. Apprendre à prendre sa place. Apprendre à satisfaire ses propres besoins avant de chercher à satisfaire ceux des autres.
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